Fic' : L'anéantissement de we-are-hp.

Bon je poste ici une trrrrès vieille fic' que j'avais commencé à écrire il y a un bon bout de temps sur un autre forum HP.
Comme ce forum est mort, j'ai pas continué, alors je reposte la fic' ici pour que tout le monde puisse connaitre la fin de ce château qu'on appelle We-are-Hp.

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Personnages (parce que je doute que vous les connaissiez xD) :
Les directrices : Zabelle, Lilouze, Alexe.
Les personnages principaux : Le narrateur (évidemment ^^), Qhadehar, Fire, Rom2, Agami Bakemono, Mahdiyou, Vladimir Zernyk pour les garçons ; Lia, Tesss, Enya, Brooke, Fleur et Gwen pour les filles.
... Et quelques autres, soit que je n'ai pas mentionnés dans l'histoire, soit que j'ai oublié :]

Chapitre 1

C'est un bel après-midi ensoleillé, et la plupart des membres de we are seront présents à la fête.
En effet, on avait organisé un grand rassemblement, comportant les membres les plus actifs de we are.
On est dans le parc, Qhadehar, Lilouze et moi, à attendre l'arrivée des autres membres. Le buffet est déjà préparé, et Lilouze et moi regardons avec envie les boissons et autres gâteaux apéritifs posés sur la table.
Arrive enfin quelqu'un : Zabelle, en tant que directrice de we are, ne peut pas se permettre d'avoir beaucoup de retard. Elle est très essoufflée. Je suis content qu'elle soit enfin là ; le problème, c'est qu'elle a un hématome énorme sur le front. Je m'apprête à poser la fameuse question, mais Qhadehar m'enlève les mots de la bouche.
- Oh là là ! Qu'est-ce qui s'est passé ? Tu es...
- Je sais ! coupe Zabelle. Mais j'ai eu un problème en transplanant, impossible de le faire correctement, on dirait que la liaison est coupée. J'ai voulu transplaner à Pré-Au-Lard, mais je me suis cognée à une mur chez moi, et...
Lilouze, par un simple soupir, fait taire sa collègue et meilleure amie.
- Toujours aussi maladroite ?
- Non, répondit Zabelle. Bon, encore, c'est vrai, j'aurais pu me prendre la table basse à la place, précise-t-elle en levant les yeux au ciel. Mais c'est vrai, le transplanage marche très mal en ce moment... Pourtant, il n'y a pas de réseau, je ne comprends pas.
- Laisse, dis-je. Ce n'est pas grave.
Un coup de baguette et son bleu disparaît.
- Il réapparaîtra dans 24 heures, je signale au cas-où. Mais fais attention quand même.
- D'accord, dit Zabelle, mais tout de suite elle laisse échapper : pas ma faute si ça marche pas le transplanage.

Peu à peu, les "we-are-z'iens" arrivent. Lia, Agami Bakemono, Alexedu78, Tesss, Fire24... Et les autres.
La fête est pourtant triste, en tout cas pour les directrices, Lia, Qhadehar, Fire et moi. Nous ne nous sommes pas remis de sa disparition.
Où est-il, désormais ? Que fait-il ? Est-ce bien, à l'endroit inconnu où il se trouve ? Ce sont les questions sans réponses que nous nous posons. Le pauvre... Il s'est fait surprendre, il a disparu, il est parti. Reviendra-t-il ? Le reverrons-nous ?
Nous avions jugé bon de ne pas en parler aux autres.
La fête se passe tranquillement. Mais en plus de sa disparition qui nous pèse dessus, voilà la mésaventure bizarre de Zabelle qui m'inquiète. Je suis plongé dans le doute. Y aurait-il eu un problème avec Zabelle ?
J'observe celle-ci discrètement. Elle parle avec animation à Enya31, qui se tord de rire. Elles ont l'air de s'amuser. Je guette le moindre geste suspect de la directrice.
Et là, je vois : bam, elle tente de s'appuyer sur le buffet... Dans le vide. Elle s'est trompé de côté, mais je m'inquiète... Elle tend un bras dans le vide, cherche à tâtons un verre inexistant, trouve le vide, garde la main comme si elle tenait vraiment un verre. Tout cela sous les yeux médusés de tout le monde. Elle regarde ses pieds.

Chapitre 2 : Interrogatoire suspect

Il n'y a plus de soleil.
Ploc.
Ploc. Ploc.
Ploc-ploc-ploc-ploc...
Flioouuuuffffff.
- Tous à l'abri ! s'écrie Agami.
La pluie tombe. Zabelle, reprenant ses esprits, est la première arrivée au château. Suivie de Tesss, Alexe et Enya31, puis Gwen Williams, Brooke, Fleur Delacour, Lia...
"Toutes des filles", je pense. Seule Lilouze, dominant sa peur panique de la pluie, pense à faire léviter le buffet. Fire24, derrière, tente de rattraper les bouts de gâteaux avant qu'ils ne tombent pour les manger.
Nous nous retrouvons dans la grande salle. Mahdiyou ( Note de moi :tongue pour Qhad'^^) fait disparaître les tables, Lilouze dépose le buffet, puis Fire, Rom2 et moi nous jetons dessus, j'essaye d'éviter le fouet de Rom et de pousser Fire qui a prit la moitié de ce qu'il y avait en passant derrière Lil'
Finalement, l'après-midi se passe bien. Ce n'est qu'en fin de soirée que je pose une main sur l'épaule de Zabelle.
- AAH ! Oh, tu pourrais prévenir, gémit-elle.
- Mais oui, mais oui (je suis exaspéré). Je pourrais te dire un mot ? Heu... En particulier ?
- B... Bien sûr... Pourquoi ?
- Tu verras, je répond.
Nous nous dirigeons vers la salle des trophées, en évitant Vladimir Zernik complètement saoul, et je referme la porte derrière nous.
- Dis-moi, je commence. Qu'est-ce qui s'est vraiment passé ?
- Quand ça ?
- Tu sais bien. Quand tu t'es cognée en voulant transplaner.
- Eh bien, je t'ai déjà tout raconté avec Lil' et QHadehar. Pourquoi ?
- Ben, vu ton attitude tout à l'heure, ...
- Quoi ? coupe-t-elle.
- Tu t'appuyais sur le vide, tu prenais des verres invisibles...
- Oh, ça ? Tu me connais, j'adore faire la folle.
- Oui, mais...
- Non !
Rooh, elle peut pas arrêter de me couper la parole.
- Il ne s'est rien passé ! dit-elle, furieuse.
Et elle sort de la salle sans me regarder.
- Ben, je me dis. C'est louche...
J'espère pouvoir en parler à quelqu'un, mais plus personne n'est en bon état pour ça. Sepinou et Harry Potter0610 dorment sur la table, les filles font une ronde en chantant et les autres garçons boivent les dernières bouteilles de vodka en renversant à peu près la moitié et en louchant.
Pas moyen de dire quoi que ce soit. Je verrai demain...






Je me réveille en sursaut.
Quel cauchemarrant ! Voilà que je rêve de tout le monde en train de me zigouiller avec des cotons-tiges. Ca fait peur...
Nous avons décidé de ne pas nous séparer en fonction des maisons : il n'y a que deux dortoirs cette nuit, celui des garçons et celui des filles.
Je n'ai pas peur de l'obscurité, mais après l'affaire Zabelle, je suis un peu angoissé. Cette histoire m'inquiète. Pourquoi Zab' n'a pas pu transplaner correctement ? En plus, depuis qu'il n'est plus là, je trouve qu'il se passe quelque chose de bizarre à we are. Et juste au moment de notre fête... Le pire, c'est que les autres s'inquiètent pour lui, ils ne savent pas qu'il n'est plus là...
J'ai peur. J'ai un mauvais pressentiment.
Des bruits de pas se font entendre. Oh là là, j'ai toujours un don pour deviner qu'il y a quelque chose de douteux qui va se produire... Je me redresse sur mon lit, et j'attends.
La porte est entrebâillée, et je vois Lilouze se tenir un endroit que je ne mentionnerai pas. Ouf, ce n'est qu'elle, elle va aux toilettes.
Un hurlement strident, probablement de terreur, retentit.
- AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHH !!!!!!!
Non... Que s'est-il passé ?
- Argh...
Je laisse échapper ça malgré moi. Tout le monde se réveille. On gémit. Moi, j'ai de plus en plus peur. Je transpire comme un fou.
J'ai un rire nerveux :
- Lilouze a sûrement vu un rat...
Nous sortons du dortoir. Les filles arrivent à notre droite. Nous avançons.
Arrivés aux toilettes des filles, je suis le seul à avancer. Dans la pénombre, je distingue un corps par terre, les yeux grands ouverts, terrorisés, et une grande tache sombre...
Non... C'était impossible... Lilouze ne pouvait pas être...
Je m'approche du cadavre. Non, ce n'est pas Lilouze, elle ne fait pas cette taille-là, elle est beaucoup plus petite...
J'entends un sanglot, et j'allume la lumière.
Lilouze est en pleurs, elle ne peut plus se contrôler.
Zabelle regardait le plafond avec des yeux vides et un poignard dans le coeur...

- Allez, lil', ça va aller, ne t'en fait pas...
- Oublie ça...
- Oui, ne pleure pas...
- COMMENT ?! s'écrie-t-elle. Vous voulez que j'oublie que Zabelle est m... m...
Elle fond en larmes, une nouvelle fois. Tout près, Alexe sanglote, soutenue par Sep'. Nous sommes complètement dépassés.
J'inspecte les lieux.

- Venez, dis-je, j'ai trouvé ça.
Les autres s'approchent. Je leur montre deux bouts de papier.
- J'ai trouvé ça tout près d'elle, je dis en montrant un des deux papiers, et celui-là était dans une cabine.
Je leur montre un bout de papier, un peu plus grand que l'autre, qui brille.
- Elle l'a sûrement fait apparaître par magie, dit tout de suite Qhadehar. Quant à l'autre, l'assassin l'a probablement laissé. Qu'est-ce qu'il y a dessus ?
Je lis le premier morceau de papier, celui qui ne brille pas.

Membres de we are.
Zabelle a été tuée de notre main, et vous ne saurez la retrouver.
Ce n'est que la deuxième victime.
Mais cela signifie votre arrêt de mort à tous :
LA FIN DE WE-ARE-HP SCHOOL.



- Oh non...
- Pourquoi la deuxième victime ? Demande Mahdiyou. Où est...
- Tais-toi, je ais t'expliquer, coupe Lilouze entre deux sanglots.
- Laisse, Qhad', Fire et moi, on va s'en occuper. Va te reposer.
- D... D'accord...
Elle s'en va vers le dortoir des filles, mais fait demi-tour quelques secondes après.
- Et si... Et s'ils étaient encore là ? Je pense que je vais rester avec vous, ajoute-t-elle.
- Si tu veux.
Maintenant, il va falloir tenir bon.
- Alors ? Où est...
- NON ! hurlons-nous, Qhad' et moi, en choeur.
- Ne prononce... commence Fire.
- ...Pas... poursuit Qhadehar.
- ...Son nom, je finis. Il n'est plus là. Il a disparu. Il est m... mo... mort.
C'est dur, mais je tiens le coup. Les autres plaquent la main sur leur bouche, s'écrient "Non !" ou restent bouche bée.
- C'est impossible, dit Mahdiyou.
- Pourquoi "disparu" ? demande Gwen.
- Parce que, c'est plus facile à dire que tu-sais-quoi que j'ai eu du mal à dire. Mort, j'ajoute d'une petite voix.
Tout le monde a l'air consterné.
- Lis-nous le deuxième papier, demande Fleur.
Je l'avais oublié, celui-là. Pourtant c'est le plus étrange.

Les amis,
Je suis en train de mourir, et au moment où vous lisez ceci, je suis déjà morte.
J'ai fait apparaître ce mot par magie... Il représente tout ce que je pense à mon dernier souffle.
J'ai eu un énorme bleu sur le front car un homme masqué est entré chez moi ce matin, et a dû recourir à la violence pour me faire dire si oui ou non, la fête se déroulait aujourd'hui. J'ai cédé, et il m'a jeté un sortilège de confusion.
Vers cinq heures de l'après-midi, j'ai senti une drôle de sensation, et tout à coup, j'étais dans mon corps, mais incapable de contrôler mes gestes.
Je voyais, je pensais correctement, mais quelqu'un avait sans doute pris le contrôle de moi-même car je ne sentais pas mon corps, et j'étais incapable de m'empêcher de faire quoi que ce soit. Je n'étais pas soumise à l'Imperium, ni rien de connu ; c'est une autre forme de magie qui m'a fait cela.
J'espère que vous parviendrez à vous défendre contre cet homme et peut-être ses complices.
Je vous dis adieu, et j'espère que nous nous reverrons un jour dans un autre monde.
Zabelle.


De pire en pire. Nous sommes affolés. Je jette un regard sombre vers le cadavre.

Zabelle n'est plus.





Nous finissons la nuit éveillés, le regard sombre. Les sanglots de lilouze troublent le silence de mort qui nous oppresse.
La cloche sonne. Il est huit heures.
- Ben... Qu'est-ce qu'on fait ? demande timidement Sep'.
- Quelque chose, répond brusquement Lilouze. Je ne sais pas quoi, mais ce crime ne doit pas rester impuni.
J'interviens alors :
- Je suis d'accord. Des meurtriers rôdent dans le coin, et il faut les empêcher de continuer à nous nuire. Après tout, ce qu'ils veulent, c'est la fin de we are.
Les autres acquiescent. Nous nous dirigeons vers la Grande Salle : les bruyants gargouillements de l'estomac de Fire finissent par nous lasser. Et puis, comme l'a si bien dit Lia il y a deux minutes, mieux vaut faire le plein d'énergie. On ne sait pas ce qui peut arriver.

Nous avons beau taper sur les tables, rien à faire : pas de nourriture.
- Si nous allions voir aux cuisines ? propose Fire, dont l'estomac devient de plus en plus bruyant.
- J'y vais, dit Tesss.
Elle se lève, mais ça ne me va pas.
- Allons-y tous ensemble, je dis. Si un assassin rôde, mieux vaut être plusieurs...
C'est ainsi que la troupe des membres de we are se dirige vers les sous-sols. Une fois arrivés, Lilouze chatouille une poire.
- Vite ! dit-elle.
Le portrait laisse place à une entrée. Nous allons dans la cuisine.
Là, un horrible carnage nous attend. Je suis horrifié. Alexe laisse échapper un hoquet.
Une centaine d'elfes se tient là, dans une mare de sang.
- Argh...
Je chancelle. Cela me rappelle la mort de mes parents, et je déteste ça. Comment peut-on vivre avec l'image de ses parents dans du sang, les yeux ouverts dans une expression d'effroi ?
- Sortons, dit aussitôt Qhadehar.
Une fois hors de la cuisine, je m'appuie sur un mur.
- Non... Ce n'est pas possible.
- Si, répond Vlad'. Après tout, la fin de we are, ce n'est pas que les humains qui meurent : ici, il y a aussi des elfes, un château, des hib...
J'échange un regard avec les autres. Inutile de parler.
Nous fonçons à la volière, prêts à voir une nouvelle scène horrible.
En passant dans un couloir de l'aile Ouest, je regarde par la fenêtre, et je comprends que c'est trop tard. Une vingtaine de hiboux s'envolent à tire d'aile, au-dessus du lac. Des éclairs sont jetés dans leur direction, apparemment depuis la volière.
- Vite, si on se dépêche, on peut encore les coincer.
Arrivés à la volière, nous reculons de suite. Une odeur pestilentielle s'échappe de la salle.
- Je rêve ou quoi ? Ils ont asphyxié des hiboux ! s'exclame Brooke.
- Je... Il faut.... S'éloigner ! Je dis, en toussant.
Nous courons vers le bas du château. Après avoir dévalé l'escalier, nous nous regardons tous, en tremblant. Je regarde autour de moi et je me rend compte que le groupe a rapetissé.
- Hé ! Où sont...
Un hurlement de terreur retentit. Vlad' laisse échapper un juron tandis que Fire a les yeux exorbités.
- AAAAAAAAAAAAAARRRRRRGHHH !!
Trois membres manquent à l'appel, nous nous précipitons vers les étages. Trop tard.
Nous montons, montons, mais les cris sont toujours au-dessus de nos têtes, et arrivés dans la tour Nord, Alexe est la première à découvrir ce que nous redoutions tous.
Un homme en noir s'enfuit par un passage secret, laissant derrière lui les trois cadavres de Lia, Tesss et Mahdiyou.
- Nooon ! Hurle Agami, derrière nous.
Nous nous retournons. Ne voyons personne. Allons voir dans les escaliers, prêts au pire.
Pas pour rien.
Agami Bakemono a rejoint Zabelle, Lia, Mahdiyou et Tesss.

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Alors voilà pour les 4 premiers chapitres que j'avais postés dans le temps la suite c'est pour plus tard

HA ! Mais que vois-je ? Pas le moindre esprit dans ton histoire, petite saucisse

C'est parce qu'il n'y a pas d'esprit frappeur à We-Are-Hp :]

Si vous voulez, quand j'aurais fini celle-ci, je ferai une autre fic' : l'anéantissement du Petit Poudlard xD.

Aaaanh >'<

Non pas d'anéantissement de PP

Xd

Lucius , j'te promet que j'vais l'lire mais pas tout d'suite

Bon, pas d'anéantissement de PP alors x)

==> C'est vrai que c'est un peu long à lire au début :]

Moi j'ai eu la flemme de tout lire

--> sort...

Quelle critique argumentée

Je sais

So... j'ai lu une petite partie de ta fic et je trouve ça pas mal^^ mais j'attaend impatieament "l'anéantissement du Petit poudlard".. 8D

Si je fais l'anéantissement du PP, tu seras le premier à mourir


Edit de marcOO: J'ai hâte de voir ça

Moi aussi la flemme de lire ^^

J'pourrait mourrir avec Lucas alors???

MAIS EUH ><

Pourriez lire T__T

Bon, puisque vous êtes là, je reajoute le Chapitre 5 ! =D

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CHAPITRE 5

Notre moral est au plus bas. J'ai la tête qui tourne. Jamais, non, jamais, personne n'avait entrevu la possibilité de la mort d'un seul d'entre nous, et déjà cinq étaient partis pour toujours. Nous sommes pétrifiés d'horreur pour la plupart. Comment, comment avaient-ils pu mourir ? Il n'y a qu'un seul accès vers le lieu où nous avons trouvé Lia, Mahdiyou et Tesss. Quand les cris se sont tus, nous montions déjà ; mais nous n'avons croisé personne. Que pouvaient être ces assassins ? Des spectres ? Ou peut-être avaient-ils la faculté de sciences Paris VIII se métamorphoser ?

Soudain, tout devient sombre. Je panique et regarde par une fenêtre. Dehors, dans le ciel, s'amassent d'énormes nuages, lesquels forment une spirale qui tourbillonne. En bas, dans le parc, c'est la tempête : des arbres s'arrachent et s'envolent, et au milieu du lac, un tourbillon se forme ; les milliers de litres d'eau s'y engouffrent dans un bruit tonitruant. Bientôt, il ne reste plus rien, rien qu'un immense trou noir.
- Il faut aller voir ce qui se passe ! je crie, tandis que des pierres du château tombent, emportées par la tempête.
Je me mets à dévaler l'escalier quatre à quatre, tout le monde se précipitant sur mes talons. Nous nous regroupons dans le hall, et je suis soulagé de constater qu'il n'y a personne qui manque à l'appel.
- Tu es sûr qu'on devrait sortir ? Demande Brooke. Ici, on est plus en sécurité, ajoute-t-elle.
- Non, répond Qhad'. Le château va s'effondrer très bientôt, et nous ne devons pas nous trouver en dessous.
Vladimir, peu rassuré, prend la parole :
- Mais que faire ? Soit on s'en va d'ici, et on fuit on ne sait où, sachant qu'on risque de se faire rattraper par ces assassins qu'on ne connait même pas, soit c'est le trou noir, là bas, et...

Un sifflement se fait entendre. Nous levons la tête. Une flèche fonce droit sur nous, à pleine vitesse, en provenance du premier étage. Il n'y a pourtant personne de visible là-haut, mais déjà, le projectile atteint sa victime.
Vladimir Zernyk louche : il regarde la flèche, plantée entre ses deux yeux. Son regard devient vide et brouillé ; il ouvre la bouche et tire la lanque, avant de s'effondrer sur le sol.
Nous n'avons pas le temps de réagir, pétrifiés que nous sommes : il se relève. Etrange. Je me demande comment il peut être vivant, mais...

Son visage est bleu-vert, comme moisi. Une sorte de poil pousse sur ses yeux, toujours fixés sur la flèche ; ses joues se flétrissent.

Vladimir est en train de pourrir.

Son état empire : des trous se forment sur son corps, des asticots en sortent ; une nuée de mouches tourne autour de lui, une odeur rance de charogne se dégage...
Des hauts-le-coeur s'ensuivent, Alexe vomit. La nausée passée, nous fuyons, tandis que Vladimir lève un bras, ses yeux blancs devenant liquides dans une vision d'horreur.
Nous sortons du château en courant ; Qhad' et Fire ferment la porte derrière nous. Ici, c'est la tempête : des arbres tourbillonnent, des amas de terre s'envolent, des pierres tombent du château.
- Il faut se mettre à l'abri ! crie Brooke. On va se faire écraser !
- Mais où aller ? répond Alexe.
- Je ne s... commence Brooke.
Nous n'écoutons plus : notre regard est figé vers le haut du château. Une tourelle se détache. Elle heurte le toit, rebondit et tombe dans le vide, droit sur nous.
- COUREZ ! hurle Qhad'.
Brooke est toutefois trop lente à régir : elle nous regarde, l'air de ne pas comprendre, et alors que nous nous enfuyons, elle s'avance vers nous en hésitant, regardant au-dessus d'elle pour voir ce qui nous effraie tant.
Je regarde en arrière, la tourelle est juste au-dessus d'elle. Je m'arrête. Elle n'a pas le temps de faire un son.
- Non...
Non... Non...
La tourelle heurte le sol, produisant un grand bruit et faisant trembler le sol.
La septième victime est donc Brooke.
Je jette un dernier regard vers la porte du château. Je remarque une main disloquée dans l'herbe. Mais peut-être n'est-ce que mon imagination.
Dans ce décor de fin du monde, j'entraine les quelques rescapés - Gwen, Lil', Rom, Fire, Qhad', Fleur, Alexe et Enya - à ma suite, vers le seul refuge qui nous reste : le grand trou noir, au fond de ce qui était le lac.

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C'est plus l'anéantissement, c'est le génocide u__U
On devrait en faire un film... Moyen-métrage probablement, mais que de frissons xD

J'aiume bien mais jue veux l'anéantissementy du petit Poudlard U__u

On les connait pas ceux-la >_<

hé merde -_-'


C'est quoi ce truc de "votre message dépasse la limite autorisée" et gnagnana et puis quoi encore --' je voulais rajouter le 5ème chapitre de Lucius.

Faudrait VRAIMENT prévoir un espace bibliothèque parce que c'est chiant de lire une fic avec des chapitres rajoutés.

Alors,; on DOIt le faire, la

Ou alors il y'a une autre solution on ne présent que une fic finie, le supsens en moins.

En fait, il faut éditer le premier post et dire à chaque fois qu'on édite :

UP

et apr-s on va voir le post édité --'

J'sais c'est pas clair